Au Québec, nous avons eu le courage de sortir la religion de nos institutions politiques. Nous avons dit : « Ma chambre à coucher ne regarde pas l’Église ».
Aujourd’hui, il est temps d’avoir le même courage et de dire : « Ma poubelle, mon assiette, ma langue et ma vie ne regardent pas l’État ».
Nous sommes rendus avec une police des vidanges : des inspecteurs fouillent nos bacs et distribuent des amendes de plusieurs centaines de dollars pour un sac « non conforme ».
Nous avons une police de l’assiette qui veut décider ce que nous devrions manger, ce que nous pouvons acheter à l’épicerie, et demain peut-être ce que nous aurons le droit de cuisiner chez nous.
Nous avons même une police de la langue qui débarque dans les commerces pour sanctionner des affiches ou des menus jugés « non conformes ».
On humilie et on punit plutôt que de bâtir une culture forte par la fierté et le choix.
Est-ce cela la liberté? Est-ce cela la dignité?
Demain, ce sera quoi? Une police des pensées pour juger nos opinions, nos textes, nos conversations?
Assez, c’est assez.
Le vrai danger : pas seulement GAFAM
On aime pointer du doigt les géants privés — Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft.
Oui, les GAFAM sont puissants. Oui, ils influencent nos vies.
Mais le danger ultime n’est pas une multinationale.
👉 Le danger, c’est l’État lui-même, qui détient la loi, la police, la justice, les impôts et la contrainte.
- Les GAFAM peuvent t’exclure d’une plateforme.
- Le gouvernement, lui, peut t’exclure de ta propre vie : de tes revenus, de ta maison, de ton entreprise, de ta liberté.
Et quand l’État et les GAFAM travaillent main dans la main, la liberté individuelle est menacée comme jamais.
Le gouvernement n’est pas un allié, mais un ennemi quand il s’arroge le droit de contrôler nos choix quotidiens.
Un mouvement citoyen : La Vie Libre
Il est temps de lancer un mouvement clair : La Vie Libre.
Un mouvement qui affirme que :
- Nos poubelles ne sont pas des zones de surveillance.
- Nos assiettes ne sont pas des objets de contrôle.
- Nos mots ne sont pas la propriété d’un ministère.
- Nos vies nous appartiennent.
Un symbole à porter : le carré jaune et noir
Chaque mouvement a besoin d’un signe de ralliement.
- Nous adoptons un carré jaune et noir séparé en diagonale, formant deux triangles opposés.
- Jaune pour la vie, la lumière et la liberté.
- Noir pour la résistance et la limite au pouvoir.
- Ensemble, ce carré devient le symbole d’une société qui refuse le carcan bureaucratique.
Facile à reproduire et à porter : autocollant, drapeau, image de profil, vêtement.
Un signe clair pour dire : « Ma vie m’appartient ».
Un OBNL pour défendre la liberté individuelle
La Vie Libre peut devenir un organisme sans but lucratif qui :
- Défend juridiquement les citoyens contre les excès réglementaires.
- Expose publiquement les abus de l’État-nounou.
- Propose des solutions basées sur la responsabilisation, pas sur la punition.
Conclusion
Nous avons sorti l’Église de nos vies.
Il est temps de sortir le gouvernement de nos vies.
La Vie Libre : pour une société de citoyens responsables, pas de sujets contrôlés.
Et partout où flottera le carré jaune et noir, on saura qu’il s’agit de la bannière de la liberté individuelle.
