Simplement moi!
Et si la Révolution tranquille n’était pas le tournant miraculeux que l’on nous enseigne, mais plutôt le début d’un modèle économique étouffant? Entre bureaucratie excessive et interventionnisme d’État, le Québec est passé du grand rattrapage au déclin tranquille. Comment en sommes-nous arrivés là, et comment peut-on inverser la tendance?
Le mouvement du logiciel libre et open source (FOSS – Free and Open Source Software) est né d’une philosophie basée sur la liberté, l’accessibilité et la collaboration. Pourtant, il est frappant de constater que de nombreux défenseurs de cette cause affichent une méfiance, voire une hostilité, envers le libre marché, la libre entreprise et la…
Le Québec tolère-t-il la médiocrité dans la fonction publique tout en méprisant la réussite entrepreneuriale ? Entre héritage historique, syndicalisme omniprésent et fiscalité étouffante, la province semble enfermée dans un modèle où la performance est secondaire. Pourtant, valoriser l’innovation et la prise de risque pourrait être la clé pour un avenir plus prospère. Découvrez les raisons profondes de cette dynamique et les pistes de solution dans notre analyse complète.
Les médias québécois entretiennent un climat de peur en exagérant la situation politique aux États-Unis. En relayant des analyses alarmistes sur un risque de guerre civile, ils contribuent davantage à la polarisation qu’à une véritable compréhension des enjeux. Cet article démonte les arguments sensationnalistes et remet en question le rôle des experts qui prédisent l’apocalypse à chaque élection.
La liberté d’expression est un droit fondamental, mais elle est de plus en plus mise sous pression dans nos sociétés modernes. Entre censure, responsabilité et polarisation des débats, jusqu’où peut-on aller sans menacer ce pilier de la démocratie ? Si chacun est libre de parler, il doit aussi assumer les conséquences de ses paroles. Cet article explore les défis contemporains de la liberté d’expression et l’équilibre fragile entre droit et responsabilité.
L’immigration est un sujet central dans les débats politiques, mais il est souvent traité avec hypocrisie. Tandis que certains gouvernements sont pointés du doigt pour leur fermeté, d’autres appliquent des politiques similaires sans la même indignation médiatique. Que ce soit aux États-Unis sous Obama, Trump ou Biden, ou au Canada sous Trudeau et Legault, les expulsions et restrictions se poursuivent malgré les discours de compassion. Ce texte analyse comment l’immigration est devenue un outil électoral plutôt qu’un enjeu réellement géré pour le bien commun.
Le Québec est la province la plus syndiquée du Canada, et pourtant, son économie ne brille pas par sa prospérité. C’est un constat qui mérite qu’on s’y attarde, surtout quand on voit l’acharnement de la CSN contre Amazon. (…) Pendant ce temps, les syndicats continuent à gonfler leurs rangs et à protéger des acquis qui freinent toute modernisation.
Friedrich Hayek nous a mis en garde contre les dérives du collectivisme et l’illusion selon laquelle l’État peut corriger toutes les inégalités sans conséquence. Au Québec, cette illusion est entretenue par une fiscalité écrasante et une bureaucratie omniprésente, justifiées au nom de la justice sociale. Pourtant, comme Hayek l’a démontré dans La Route de la servitude, plus l’État s’octroie le pouvoir de redistribuer, plus il contrôle les individus, limitant leur liberté d’entreprendre et de s’exprimer. La centralisation excessive, loin d’apporter la prospérité, mène à une société dépendante et bridée, où la conformité idéologique prime sur la diversité des idées.
Les faits divers captent l’attention médiatique bien au-delà de leur importance réelle, façonnant l’opinion publique et influençant les décisions politiques. Cette obsession pour l’exceptionnel mène à une gestion réactive, souvent inefficace et liberticide, où l’émotion prime sur l’analyse rationnelle.
L’usage abusif des termes comme ‘fascisme’ ou ‘extrême droite’ dans les médias et par les militants politiques contribue à une polarisation artificielle du débat public. Mais que signifient réellement ces mots et pourquoi leur emploi excessif pose-t-il problème ? Analyse d’un phénomène qui nuit à la qualité du discours démocratique.