Simplement moi!
Un nouveau type de personnage s’est installé dans notre société.Ce n’est pas un policier, ni un juge, ni un élu autoritaire, mais parfois un peu des trois à la fois.Il peut s’agir d’un voisin, d’un journaliste, d’un fonctionnaire, d’un enseignant ou même d’un enfant.On les reconnaît à leur posture morale : ils affirment vouloir votre…
La religion ne disparaît pas : elle change de forme. Aujourd’hui, c’est la politique qui reprend ses codes, ses dogmes, ses inquisiteurs — au détriment de la liberté, de la justice et de la démocratie.
Pourquoi Éric Duhaime est-il cloué au pilori pour avoir aidé un ami, alors qu’Alex Boissonneault est présenté comme un modèle de rédemption? Pourquoi une entreprise privée qui augmente ses prix est-elle un monstre, pendant qu’un projet public déficitaire de milliards est applaudi sans condition? Le double standard idéologique ne sert ni la justice, ni la vérité – il alimente seulement l’hypocrisie politique.
Cette critique répond à la chronique de Kharoll-Ann Souffrant en remettant les pendules à l’heure sur l’histoire, la liberté d’expression, et la réalité haïtienne et québécoise.
Robin des Bois n’était pas un partisan de la redistribution socialiste, mais un résistant contre l’abus de pouvoir et l’oppression fiscale. Redonner ce qui a été volé par un État illégitime, ce n’est pas “voler les riches”, c’est restaurer la justice.
Une critique du relativisme culturel qui empêche de dénoncer l’intolérable au nom de la diversité. Toutes les cultures ne se valent pas, et il est temps de le dire sans honte.
Comparer Donald Trump à Adolf Hitler, c’est franchir la ligne entre journalisme et propagande. Le Journal de Montréal ne signe pas une analyse historique, mais un pamphlet émotionnel destiné à faire peur — surtout aux baby-boomers québécois trop habitués à croire tout ce qu’on leur sert dans le journal du matin.
Quand l’urbanisme devient une croisade religieuse et que chaque stationnement est vu comme un péché mortel, il est temps de remettre les pendules à l’heure. Voici une réflexion tranchante sur l’autoritarisme vert version 2.0.
Un médecin et un patient en fauteuil roulant discutent des alternatives à l’aide médicale à mourir, dans un échange empreint de respect et d’humanité.