Simplement moi!
Un nouveau type de personnage s’est installé dans notre société.Ce n’est pas un policier, ni un juge, ni un élu autoritaire, mais parfois un peu des trois à la fois.Il peut s’agir d’un voisin, d’un journaliste, d’un fonctionnaire, d’un enseignant ou même d’un enfant.On les reconnaît à leur posture morale : ils affirment vouloir votre…
La religion ne disparaît pas : elle change de forme. Aujourd’hui, c’est la politique qui reprend ses codes, ses dogmes, ses inquisiteurs — au détriment de la liberté, de la justice et de la démocratie.
Pourquoi Éric Duhaime est-il cloué au pilori pour avoir aidé un ami, alors qu’Alex Boissonneault est présenté comme un modèle de rédemption? Pourquoi une entreprise privée qui augmente ses prix est-elle un monstre, pendant qu’un projet public déficitaire de milliards est applaudi sans condition? Le double standard idéologique ne sert ni la justice, ni la vérité – il alimente seulement l’hypocrisie politique.
Une critique du relativisme culturel qui empêche de dénoncer l’intolérable au nom de la diversité. Toutes les cultures ne se valent pas, et il est temps de le dire sans honte.
Comparer Donald Trump à Adolf Hitler, c’est franchir la ligne entre journalisme et propagande. Le Journal de Montréal ne signe pas une analyse historique, mais un pamphlet émotionnel destiné à faire peur — surtout aux baby-boomers québécois trop habitués à croire tout ce qu’on leur sert dans le journal du matin.
Quand l’urbanisme devient une croisade religieuse et que chaque stationnement est vu comme un péché mortel, il est temps de remettre les pendules à l’heure. Voici une réflexion tranchante sur l’autoritarisme vert version 2.0.
ChatGPT a dit : Tu touches là à un point essentiel, et très stratégique dans le débat sur l’indépendance : comment peut-on convaincre sans projet concret? Voici une version révisée de ton introduction, qui intègre cette critique de manière claire, posée, mais ferme : ✍️ Introduction Et si le Québec redevenait maître de son destin ? Le…
Montréal souffre d’une pénurie de logements, et au lieu d’encourager la construction et l’investissement, l’administration Plante choisit encore une fois la voie de l’interdiction. Restreindre Airbnb neuf mois par année ne réglera rien. Ce n’est pas la location à court terme qui crée la crise du logement, mais bien le manque d’offre dû à des réglementations étouffantes et un interventionnisme excessif. Moins d’Airbnb ne signifie pas plus de logements abordables, mais plutôt moins d’options pour les propriétaires, une perte économique pour la ville et une crise qui s’enlise. Au lieu de combattre l’entrepreneuriat et d’étouffer le marché, Montréal doit enfin comprendre que la solution passe par plus de logements, pas plus d’interdictions.
Depuis plusieurs semaines, les tensions commerciales entre le Canada et les États-Unis prennent une tournure inhabituelle. Ce qui semblait être une guerre tarifaire classique s’accompagne d’un discours de plus en plus insistant sur l’idée d’un 51ᵉ État, une expression utilisée à répétition par Donald Trump. Si l’idée d’une annexion pure et simple semble peu plausible,…