Simplement moi!
Au Québec, nous avons eu le courage de sortir la religion de nos institutions politiques. Nous avons dit : « Ma chambre à coucher ne regarde pas l’Église ».Aujourd’hui, il est temps d’avoir le même courage et de dire : « Ma poubelle, mon assiette, ma langue et ma vie ne regardent pas l’État »….
« Depuis 2020, les médias québécois ont progressivement troqué leur rôle de contre-pouvoir pour celui de relais du pouvoir. Sous couvert d’urgence sanitaire, climatique ou sociale, ils ont légitimé des restrictions inédites aux libertés individuelles – et marginalisé quiconque osait s’y opposer. »
On a présenté le vaccin à ARN messager comme une solution durable. Mais entre cibles mutantes, rappels successifs et isolement de la population, c’est toute une stratégie rigide qui a échoué à s’adapter à la réalité biologique.
La religion ne disparaît pas : elle change de forme. Aujourd’hui, c’est la politique qui reprend ses codes, ses dogmes, ses inquisiteurs — au détriment de la liberté, de la justice et de la démocratie.
Cette critique répond à la chronique de Kharoll-Ann Souffrant en remettant les pendules à l’heure sur l’histoire, la liberté d’expression, et la réalité haïtienne et québécoise.
Une critique du relativisme culturel qui empêche de dénoncer l’intolérable au nom de la diversité. Toutes les cultures ne se valent pas, et il est temps de le dire sans honte.
La liberté d’expression est un droit fondamental, mais elle est de plus en plus mise sous pression dans nos sociétés modernes. Entre censure, responsabilité et polarisation des débats, jusqu’où peut-on aller sans menacer ce pilier de la démocratie ? Si chacun est libre de parler, il doit aussi assumer les conséquences de ses paroles. Cet article explore les défis contemporains de la liberté d’expression et l’équilibre fragile entre droit et responsabilité.
Friedrich Hayek nous a mis en garde contre les dérives du collectivisme et l’illusion selon laquelle l’État peut corriger toutes les inégalités sans conséquence. Au Québec, cette illusion est entretenue par une fiscalité écrasante et une bureaucratie omniprésente, justifiées au nom de la justice sociale. Pourtant, comme Hayek l’a démontré dans La Route de la servitude, plus l’État s’octroie le pouvoir de redistribuer, plus il contrôle les individus, limitant leur liberté d’entreprendre et de s’exprimer. La centralisation excessive, loin d’apporter la prospérité, mène à une société dépendante et bridée, où la conformité idéologique prime sur la diversité des idées.
L’usage abusif des termes comme ‘fascisme’ ou ‘extrême droite’ dans les médias et par les militants politiques contribue à une polarisation artificielle du débat public. Mais que signifient réellement ces mots et pourquoi leur emploi excessif pose-t-il problème ? Analyse d’un phénomène qui nuit à la qualité du discours démocratique.
Un journalisme en crise de crédibilité Depuis quelques années, une tendance inquiétante se dessine dans le paysage médiatique québécois. Ce qui était autrefois un travail d’enquête rigoureux et d’information nuancée s’est transformé en une machine à sensationnalisme, où l’émotion et le spectacle priment sur la recherche de la vérité. Les grands médias québécois, jadis garants…